Contre vents et marées, les duettistes Claudio et Ettore continuent l’aventure Disarmonia Mundi avec un cinquième opus intitulé Cold Inferno.
Quoi de beau au programme ? A peu près la même chose que sur les précédents, à savoir du gros mélodeath qui tâche. Oui je sais, mélodeath qui tâche ça fait bizarre mais comparé à In Flames (hein comme ça au hasard) ça savate véner’.
Ha la studio Ghibli… ses magnifiques films… et ses musiques d’anthologie signées Joe Hisaichi… c’est beau. Et il se passe quoi quand une bande d’énervés décident de reprendre les classiques dans des versions boostées à la double pédales?
Ca donne Princess Ghibli.
Alors que revoilà notre duo italien préféré… The Isolation Game marque le grand retour de Disarmonia Mundi (Claudio et Ettore pour les intimes) avec un nouvel album plein de bonnes choses.
Tiens une vraie fausse nouveauté ! En effet si Nebularium en version double CD est une nouveauté, son contenu n’est plus ni moins qu’une réédition remasterisée du premier album du duo italien sorti en 2002 (à l’origine il s’agit d’une autoproduction) avec en bonus l’EP Restless Memoirs constitué de b-sides diverses et variées.
Mon challenge du jour : vous montrez qu’on peut faire aussi bien voir mieux que les suédois en matière de death mélodique – rien que ça. Et pour ça direction la patrie de Luca Turilli avec Disarmonia Mundi. Charmant petit groupe italien qui s’est adjoint les services de plus overbooké des suédois au chant : Bjorn Speed Strid.
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