La vie est un perpétuel recommencement, la musique aussi.
Depuis quelques années il n’est pas rare de voir débouler un groupe de d’jeunes qui prennent le parti de dépoussiérer le rock dit « classique » pour le remettre au goût du jour en s’inspirant souvent des maîtres du genre. Airbourne est de ceux là.
The Wacken Carnage est la 5ème offrande de Bloodbath, groupe qui est à mes yeux un des plus beaux quintet (quelque soit son line-up) que la Suède nous ait envoyé depuis… que la Suède est Suède et qu’elle nous envoie des quintets 🙂
Je suis tout sauf un gros fan de Deicide, cependant leur dernier album m’avait franchement bien plu et je m’étais régalé en l’écoutant. J’attendais donc celui là avec curiosité historie de voir si ma récente histoire d’amour avec Benton et ses potes allait perdurer.
4 ans après un premier effort remarqué pour l’inénarrable niveau de connerie qu’il avait atteint (ne rien voir de méchant dans cette phrase), les nantais d’Ultra Vomit remette le couvert avec un second opus au titre évocateur : Objectif Thunes.
Nous allons aujourd’hui étudier un exercice de style connu comme étant parmi les plus casses gueules (si ce n’est le plus casse gueule) de la musique, à savoir la réinterprétation d’un ancien album plusieurs années après sa sortie. Le sujet du jour n’est ni plus ni moins que le Stormblast de Dimmu Borgir, masterpiece parmi les masterpieces du black.
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