Pour ma première chronique de raie bleue, je mets les petits plats dans les grands en attaquant directement avec le top du top, la crème de la crème, la cerise sur la gâteau, la pr0n star à l’enterrement de vie de garçon, bref avec un des plus grands groupes de Rock de tous les temps, pour un de ces plus grands concerts et pour peut-être le meilleur live jamais filmé, mesdames, messieurs: AC/DC Live At River Plate!
Amis masochistes, amateurs d’auto-flagellations et de sévices en tout genre, c’est aujourd’hui à vous que je m’adresse.
Si si approchez-vous, j’ai de quoi satisfaire vos envies de souffrances et de quoi vous faire saigner les oreilles… ET EN ALLEMAND de surcroît.
Quand Shagrath n’est pas en répétition tournée avec Demi Burger ou qu’il n’a pas un concours de maquillage avec Ov Hell, que peut-il bien faire?
Simple, ce qu’il fait de mieux: empiler les clichés mais dans un registre différent.
On ne peut pas dire que Vorph & co s’étaient facilité la tâche avec Above. Album très sympa, très roots (dans tous les sens du terme) mais plombé par une prod « St Angeresque ». Du coup pour la suite, nos petits suisses se sont dit que revenir vers un Metal tendance industriel qu’ils maîtrisent parfaitement serait une bonne idée.
Dark Matter Dimensions, album précédent de nos petits suédois, marquait un changement important pour le groupe (rien de moins qu’un remplacement de chanteur par deux). Le résultat était mitigé mais globalement correct. Revoici donc la fine équipe avec un tout nouvel album où chacun a pu mettre sa petite touche perso.
Résultat?
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