Le retour du Death rigolo en provenance direct de « hollandie » (qui n’est pas le pays d’origine de François Hollande).

Voila maintenant va falloir en chaîner sur cette blague très foireuse… BREF. 3 ans après un Vernedering imparfaitement sympathique, The Monolith Deathcult continue sur sa lancée de faire du Death Metal relativement mélodique et bourré d’humour.

The Monolith Deathcult - The Demon Who Makes Trophies Of Men EP

Dans cet EP, il sera question de monstres car le montre l’artwork mais aussi le titre, The Demon Who Makes Trophies Of Men, nous allons causer Predator (celui de 1987, le vrai, le seul, l’unique, le chef d’œuvre de John McTiernan avec le « gouvernator » et le regretté Carl Weathers).

Titre typique du registre du groupe, c’est bourré d’arrangements et de samples, la basse vrombit et le riff est cool. Les 6 minutes du titres passent toutes seules.
On enchaîne sur The Nightmare Corpse-City of R’lyeh qui fait référence à l’univers lovecraftien si je ne me trompe pas. Plus instrumental, plus expérimental aussi, ça se laisse écouter gentiment.
L’EP se conclue sur Kindertodeslied MMXXIV. Sorte de gloubiboulga lorgnant vers l’avant gardiste qui mélangeant samples limite Drum N Bass, voix diverses et variées ainsi que les gros riffs du Monolith et un chant hurlé en hollandais (sauf erreur de ma part). Bizarre à la première écoute mais on s’y faite et au final c’est plutôt bien vu.

L’ensemble est plutôt sympa et de bonne augure pour l’album (The Demon Who Makes Trophies Of Men) qui sort plus tard cette année et dont je reparlerai ici bien entendu. Ce qui me rassure c’est la qualité de la prod qui est vraiment ce qui pêchait sur leur précédente sortie. Ici ça sonne comme ça doit sonner. Pas sûr en revanche que j’aurais dévoilé sur un EP 3 des 8 titres du futur album.
Passons. Le Monolith revient et sa promet d’être culte.